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Se mettre au vert en région lyonnaise

Dans un classement daté de août 2019, le Magazine Le Point plaçait certains hôpitaux lyonnais à la 17ème et 24ème position sur un total de 50 établissements. Sous l’angle des spécialités, on retrouvait, également, de nombreux services des hôpitaux de lyon et agglomération, en pôle position dans un grand nombre de disciplines médicales et chirurgicales.

Si la qualité de la médecine de la région est reconnue dans bien des domaines, pour qui veut passer un séjour ou une convalescence agréable, le lyonnais n’offre pas que de grandes facilités d’accès, attachées à des installations médicales modernes et des professionnels compétents. Au titre de ses avantages, il dispose aussi de belles zones de calme et de verdure, à deux pas de l’agglomération. C’est le cas du lac du Grand Large, dans l’est Lyonnais, à deux pas de l’ancienne clinique du même nom et du nouveau pôle médical de Décines. De son côté, le versant ouest de l’agglomération, plus vallonné et montagneux, recèle également des trésors de nature. Pour les locaux comme pour qui séjourne temporairement dans la région ou vient s’y faire soigner, tous ses endroits seront l’occasion de prendre de bons bols d’air et passer de bons moments de détente.

L’ouest lyonnais

A l’ouest, les Monts du Lyonnais offrent, à moins de 30 minutes du centre ville, de belles balades en pleine nature. Les paysages oscillent entre monts et basse montagne et on s’y rend en toute saison, pour découvrir ses prés, ses forêts et ses villages. L’automne venue, à l’abri des sous-bois, les amateurs de cueillette y trouvent aussi de beaux coins à champignons.

De là, en remontant vers le nord, on pourra rejoindre Charbonnières-les-Bains. Avant de poursuivre pour aller trouver, un peu plus loin, le joli bois de Dardilly, la cité thermale vaut bien à elle seule un halte, ou même encore un séjour.

Charbonnières-les-bains : thermalisme, verdure et tapis vert

Pour le repos comme pour les cures, la ville de Charbonnières-les-Bains propose de beaux établissements à la découverte de la Thalasso et des joies thermales. L’histoire de son thermalisme remonte à l’année 1778. On conte que le curé de la paroisse fut celui qui découvrit la source et ses propriétés. De là et avec la construction d’infrastructures pour en tirer partie, les lyonnais en firent un lieu de cure privilégié. Côté nature, on se trouve également à deux pas du superbe Domaine de Lacroix-Laval. On peut y faire de grandes ballades et même, pour les lève-tôt y croiser quelques animaux sauvages qui ont élu l’endroit pour résidence. Les fins de semaine, ce parc est un des plus fréquentés de l’ouest Lyonnais.

À partir du centre de Charbonnières-les-Bains et en direction de la Tour de Salvagny, on entre dans le royaume des amateurs de jeux de hasard et d’argent. Baptisée Avenue du casino, la grande voie mène, en effet, à un édifice qui fait, depuis longtemps, les belles heures de Charbonnières : le Casino Le Lyon Vert. C’est le groupe Partouche qui a en charge ce bel établissement de jeux rattaché à la commune de la Tour de Salvagny. Restaurant, hôtel-spa, joli parc arboré, le casino compte aussi pas moins de 310 machines-à-sous dans son espace de jeu : bandits manchot mais aussi machines à sous vidéo dernier cri et vidéo-pokers. Les joueurs y trouveront encore douze tables de jeux traditionnels : black-jack, roulette anglaise, poker Texas holdem et ultimate, auxquelles viennent s’ajouter sept postes de Black-Jacks électroniques et soixante postes de roulette anglaise (électronique également). Le propos n’est pas ici d’entrer dans le détail. Aussi, si vous souhaitez faire un peu le tri entre tous ces jeux de casinos, nous vous recommandons de consulter ce site sur les casinos, ici.

Le Casino de Charbonnières n’as pas attendu le XXIe siècle pour connaître un grand succès auprès des curistes ou de ceux venus séjourner quelque temps dans la cité. Historiquement, son ouverture date de la fin du XIXe siècle (1881) et ce n’est qu’en 1973 qu’il fut acquis par le groupe Partouche. Aujourd’hui, Le Lyon Vert compte aussi comme une véritable attraction pour les gens du lyonnais, à l’arrivée de la fin de semaine. Pour l’anecdote, sa direction est assurée par une équipe principalement féminine. Quand on songe que les dames étaient interdites de séjour dans les tous premiers établissements de jeux ouverts en France, on se dit que l’Histoire a bien pris sa revanche.

Enfin, pour terminer notre périple du côté de l’ouest lyonnais, en revenant en direction de la Saône, depuis Charbonnières et en continuant vers le nord, on trouvera les célèbres Monts d’or. Joliment vallonnés et parsemés de beaux villages de caractère, eux aussi, voient affluer de nombreux lyonnais durant les week-end. Pour les gastronomes, le légendaire établissement de Paul Bocuse et ses grandes tentations se tient aussi non loin. Il n’est d’ailleurs pas pour rien dans la réputation de cette partie du Lyonnais.

L’est Lyonnais et le Grand Large

Si l’est lyonnais n’a pas, à son actif, de cures thermales ou de loisirs autour des jeux de Casinos, un grand nombre de Lyonnais s’y rend, chaque week end, pour profiter de l’immense base de loisirs du Grand Large. À quelques distances du pôle médical de Décines, la zone offre de nombreuses ères de jeux pour les enfants et de grandes promenades au bord de l’eau ou entre les arbres. Depuis sa création, elle fait aussi le bonheur des sorties en famille et des joyeux pique-niques, les beaux jours venus. Ici, le paysage est plus à la plaine alluviale qu’aux vallons et aux montagnes, mais il a comme atout l’influence du fleuve, sa faune et sa flore.

Au cœur de l’endroit, le lac du Grand large, d’une surface de 150 hectares, fait le régal des pécheurs et des amateurs de navigation à voile ou même de Canoë. Ce Bassin est, en réalité, artificiel : il a été formé par la construction du Canal de Jonage à la fin du XIXe siècle. Ce dernier avait pour visée de mettre en fonctionnement la centrale hydro-électrique de Cusset. Le paysage ayant été remodelé et de nouvelles zones aquatiques ayant émergé, les habitants du lyonnais ont fini par se l’approprier. Aujourd’hui, en plus d’être une zone de loisir prisée, le grand large est aussi devenu un enjeu pour ses cinq communes limitrophes. Pour le plus grand plaisir de ceux qui le fréquentent, toutes semblent décidées à le mettre en valeur avec des visées tout autant écologiques et de préservations qu’économiques et touristiques.

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